COMMENT SE LIBÉRER DE SA PEUR D’ÊTRE LICENCIÉ(E)

COMMENT SE LIBÉRER DE SA PEUR D’ÊTRE LICENCIÉ(E)

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  • Dernière modification de la publication :24 octobre 2024
  • Temps de lecture :26 min de lecture

se libérer de sa peur d'être licencié(e)

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) ?

Se libérer de sa peur d’être licencié(e) . La peur de perdre son emploi peut nous plonger dans une anxiété chronique. Pourtant, cette anxiété nous affaiblit, nous épuise, nous fait perdre la concentration. Cet état d’épuisement est la cause d’une augmentation des erreurs dans notre travail, ce qui renforce la crainte d’être licencié. Voici les pistes qui vous aideront à vaincre la peur de perdre son emploi. Ça nous est tous arrivé à un moment ou à un autre de sentir une sorte de danger sur notre situation au travail. Ce qui peut être très effrayant. Il peut y avoir des raisons tangibles, concrètes, comme dans le cas où votre nouveau chef vous a clairement dans le nez, ou des motifs plus flous, comme une restructuration dans votre entreprise ou une situation de crise économique dans votre secteur professionnel.L’idée de perdre votre emploi peut vraiment être effrayante. Comment subviendrez-vous aux besoins de votre famille ou supporterez-vous votre train de vie si vous êtes sans source de revenus ? Malheureusement, votre peur de vous faire renvoyer peut devenir une prophétie qui s’autoréalise.

La peur que votre employeur ne vous congédie peut réduire votre productivité au travail et constituer une entrave à votre évolution professionnelle. Si vous tenez à faire de votre mieux, il faudra vous débarrasser de cette crainte.

L’anxiété nous fait perdre de l’énergie

Le problème, c’est que ça génère beaucoup d’anxiété. Quand on est trop souvent inquiet, notre cerveau limbique provoque une réponse de stress d’inhibition ce qui entraine des changements physiologiques dans notre corps avec des conséquence graves comme une baisse d’énergie, des problèmes de mémorisation et de concentration, un sommeil perturbé, plus d’irritabilité. Il est donc essentiel de sortir de cette anxiété, car c’est en fait elle qui va nous fragiliser, nous déconcentrer au travail et nous poussez à commettre des erreurs. S’inquiéter d’être viré n’est pas la bonne façon de faire face au danger, au contraire, cet état d’anxiété peut même participer au fait que nous ne donnons plus satisfaction. Et si malheureusement ce qu’on craignait arrive, et qu’on perd son travail, on n’arrivera plus à faire face à cette situation tellement on a perdu d’énergie. La clé, c’est donc de sortir de cet état de peur pour retrouver la confiance, l’estime et l’énergie dont on a besoin, que ce soit pour garder son job ou pour en retrouver un.

L’anxiété de perdre son job augmente le risque de perdre son jobSe libérer de sa peur d'être licenciée

Les raisons d’avoir peur du licenciement sont légitimes au vu de tous les enjeux que ça comporte. Le travail est au centre de notre vie. Et il est aussi vrai que la situation du monde du travail a complètement changé ces dernières décennies. Les crises économiques qui se succèdent ont provoqué un mouvement de restructuration qui touche la majorité des secteurs et des entreprises. Les organigrammes sont chamboulés, les métiers changent, les employés sont licenciés. A chaque annonce de restructuration dans une entreprise, c’est 100% des collaborateurs qui angoisse de perdre son emploi. La crainte de perdre son emploi est donc très présente aujourd’hui, mais il faut s’en libérer pour 2 raisons essentielles. La première, c’est que l’anxiété de perdre son job augmente le risque de perdre son job. Pourquoi ? Parce pour votre cerveau ne fait pas la différence entre la fiction et la réalité. Pour lui, il n’y a pas une grande différence entre perdre son emploi et avoir peur de le perdre.

Ce qu’il imagine, il le vit. Donc quand vous êtes anxieux à l’idée d’être licencié, vous l’êtes vraiment au niveau de votre état mental et physique.

La deuxième chose à comprendre, c’est que la crainte de perdre son job vous déstabilise ce qui vous rend fragile. L’être humain a besoin de stabilité, il est allergique à l’imprévisibilité. Les dernières crises que nous avons vécues, ou vivons encore, ont renforcé cette impression que tout ne tient qu’à un fil, que nous pouvons perdre notre job à tout moment. Les deux ans de pandémie de coronavirus, suivi par le conflit en Ukraine et ses retombées sur les prix des matières premières, l’inflation et la chute des cours boursiers, ont créé un sentiment diffus de fragilité et de pénurie. Le cerveau préfère ne pas perdre que gagner. Donc dans ces moments, le cerveau est encore plus attentif à l’idée de ne pas perdre. Comme il est en charge de votre survie, il vous pousse à explorer encore et encore les pires scénarios afin que vous soyez prêt à affronter les pires situations. Mais là aussi rester dans l’anxiété permanente n’est pas une solution, bien au contraire c’est ce qui vous fragilise.

Évaluez votre situation

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : est-ce qu’il existe une raison valable pour laquelle vous croyez que vous pouvez être renvoyé(e) ? Recherchez à votre lieu de travail des preuves pouvant indiquer que votre poste est menacé. À moins que vous n’en trouviez, toutes vos peurs sont vraisemblablement dans votre tête et il n’y a aucun danger. Voici quelques signes indiquant que votre patron se prépare éventuellement à vous remercier :Se libérer de sa peur d'être licenciée

  • votre charge de travail diminue ;
  • il y a une nouvelle administration qui souhaite changer l’orientation de l’entreprise ;
  • votre directeur vous évite soudainement ;
  • vous n’êtes plus convié(e) aux réunions importantes ;
  • votre patron est très critique au sujet de votre travail.

« Commencez par vous poser des questions importantes, comme est-ce de la peur ? Suis-je en évaluation ? Il est utile d’avoir un(e) ami(e) avec qui parler et de déterminer ce qui est réel et ne l’est pas. S’il y a une raison valable pour que l’on vous congédie, trouvez comment aller de l’avant. »

Arrêtez d’avoir peur

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e ) : si vous ne trouvez aucune preuve tangible que votre travail est menacé, vous devez chercher l’origine de vos inquiétudes. Elles peuvent résulter d’expériences personnelles que vous avez eues par le passé. La première étape pour modérer la peur irrationnelle peut revenir à en identifier la cause.

  • Est-ce que vous aviez été pris par surprise lorsqu’un ancien employeur vous avait renvoyé sans préavis ?
  • Est-ce que vous avez été témoin d’une période difficile qu’a traversée un parent ou un ami à la suite de la perte de son emploi ?
  • Est-ce que vous considérez un licenciement comme une mauvaise évaluation de votre amour-propre ?

Déterminer la probabilité de perdre votre emploi

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : d ’abord, il faut bien évaluer la probabilité qu’un licenciement vous touche. On a souvent des inquiétudes vagues et diffuses, mais on ne fait pas l’effort de les confronter à la réalité. Posez-vous quelques questions pour diminuer ce flou. Sur quoi basez-vous vos inquiétudes ? Sont-elles fondées ? Quelle est la probabilité qu’un licenciement vous touche ? 100% ou 10% ? Très souvent, il n’existe pas de raison concrètes d’être inquiet de perdre son job. En prenant conscience que votre inconscient s’accroche à des éléments vagues et peu précis, comme une crise économique, des bruits de couloir, des changements à la direction, des prévisions médiatiques comme actuellement avec la fin prévue de nombreux métiers provoquée par le développement de l’intelligence artificielle, cela va diminuer vos anxiétés.Déterminer la probabilité de perdre votre emploi

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : en voyant de manière rationnelle, qu’il n’y a rien d’objectif dans vos craintes, et surtout rien sur lequel vous pouvez agir, vous pouvez recentrer votre énergie sur ce qui va vous aider vraiment : la gestion de vos émotions et de votre stress pour ne pas laisser votre physiologie vous fragiliser. Et affronter les éventuels problèmes grâce à l’action

Développer un plan d’action concret et le réalisér

S’il existe des raisons plus ou moins objectives que votre poste est en danger, par exemple si vous êtes en conflit avec votre hiérarchie, si l’entreprise connaît des difficultés financières, si des projets de délocalisation ou de sous-traitance d’activité ont été annoncés, ou si vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs, il est important d’affronter la réalité. En général, on a tendance à se détourner de ce qui nous fait peur. Ce sont des stratégies d’évitement, comme quelqu’un qui a peur de l’avion et qui ne le prend plus, ou qui a peur des araignées et quitte la pièce dès qu’il en voit une. Ces stratégies d’évitement soulagent sur le court terme, mais renforcent l’anxiété à long terme. Dans ce cas, comment affronter la réalité ? En développant un plan d’action concrètes et le réaliser. Ça peut être faire un bilan de compétence pour voir vos forces et vos faiblesses, puis rédiger un CV attractif et moderne – à quand remonte la dernière fois que vous avez rédigé votre CV ? – puis faire une étude de marché pour évaluer vos opportunités, relancer votre réseau.

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : toutes ces initiatives vont renforcer votre sensation d’être en action, et le cerveau préfère se sentir en action qu’immobilisé. Donc restez dans l’action, soyez mobile, continuez à vous impliquer. Le mouvement vous offre une sensation de contrôle et de maîtrise de votre futur.

Parlez à vos collègues

Comment se libérer de sa peur d’être licenciée : si vous pensez que votre peur d’être licencié(e) est fondée, essayez de voir ce que vos pairs pensent de la sécurité de leur propre emploi. Cela vous surprendra sans doute de découvrir qu’un grand nombre d’entre eux partagent vos soucis. Certains employeurs se servent de la peur d’un lacement dans une tentative malavisée de rappeler leurs employés à l’ordre. S’il vous semble que l’entreprise pour laquelle vous travaillez vous manipule, commencez à trouver un emploi ailleurs. Ne vous plaignez pas à vos collègues. Cela pourrait parvenir aux oreilles de votre employeur.

Adressez-vous à votre superviseurAdressez-vous à votre superviseur

Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : vous pouvez demander respectueusement à votre patron de vous accorder une rencontre privée pour parler de vos inquiétudes. Faites-lui savoir que votre poste compte pour vous et que vous souhaitez remplir vos responsabilités au mieux de vos capacités. Il se peut que votre initiative l’impressionne et qu’il vous rassure. Vous pouvez proposer d’assumer des projets supplémentaires qui pourront le soulager. Vous devez comprendre que la manière dont vous traite votre patron n’est pas souvent personnelle. Il est fort probable qu’il soit plus concentré sur la croissance globale de l’entreprise que sur votre prestation.

Vous pouvez apporter une liste de vos réalisations au travail. Si vous avez une relation saine avec lui (elle), parlez à votre responsable. Une évaluation est le meilleur moment pour demander ce que l’on pense de vous et ce que vous pourriez améliorer. Demandez-lui quels sont vos points forts et quelles sont les choses que vous pourriez mieux faire.

Renforcer votre confiance 

Pour se libérer de sa peurd’être licencié(e), il faut entretenir la meilleure réponse face à l’anxiété, qui est la confiance. Mais la confiance ne se décrète pas, ce n’est pas quelque chose qui vient sur commande, comme si on se levait le matin en se disant « aujourd’hui je ne serai pas peureux mais courageux ». Ces sentiments de peur ou de courage sont nichés en profondeur, c’est dans l’inconscient que ça se passe. Il faut donc informer l’inconscient que nous gardons le contrôle sur notre environnement. Pour augmenter et entretenir un état de confiance au travail, voici quelques conseils :

Faites-vous confiance quant à la qualité de votre travail et sur ce que vous apportez à l’entreprise. Pour cela, je vous propose de le faire au quotidien, à la fin de la journée de travail. A ce moment, vous avez deux piles sur votre bureau. La pile de ce qu’il vous reste à faire, elle est souvent imposante et c’est elle que vous regardez. En vous focalisant sur ce que vous n’avez pas eu le temps de faire, vous informez votre inconscient que votre journée a été un échec. C’est pour ça que vous continuez à penser au travail alors que vous êtes chez vous. Je vous invite à regarder l’autre pile, celle des choses que vous avez faites. Cette pile est aussi importante, peut-être plus haute que l’autre, mais vous ne la voyez pas. En fin de journée, faites donc le bilan de tout ce que vous avez fait, et félicitez-vous en vous tapant sur l’épaule. Ce petit exercice quotidien va renforcer votre confiance que vous êtes actif et productif.

Rappelez-vous que quand les choses changent, il y a aussi des opportunités. Entretenez la confiance en votre capacité d’adaptation. Vous vous êtes déjà sorti de coups durs, vous avez déjà vécu des restructurations, et vous avez ensuite retrouvé votre équilibre. Il suffit de penser à la crise du covid. Nous avons traversé individuellement et collectivement la pire crise sanitaire et économique. Mais nous avons surmonté cette crise, grâce à de nombreuses capacités. Cette expérience, même si elle a été désagréable, vous a prouvé que vous pouvez vous adapter.

Diminuer l’anxiété Diminuer l'anxiété 

Dans les personnes que j’accompagne, j’entends beaucoup de souffrance au travail. Alors on peut se demander Pourquoi craindre de perdre son travail, alors qu’aujourd’hui le travail peut être une source de beaucoup de stress, de pression psychologique, d’épuisement. Un engagement professionnel peut nous coûter très cher, en termes d’énergie consacrée et de risque sur la santé mentale. J’ai entendu beaucoup d’histoires qui parlent de pression sur le chiffre, d’objectifs en hausse alors que les ressources sont en baisse, de trop de voyages et de soirées consacrées au travail, de manque d’écoute de la part de la hiérarchie, de coups bas entre collaborateurs, il y a aussi du harcèlement, du mobbing, des collègues qui râlent et sont négatifs sur tout, le bruit dans les open space.Alors bien sûr, c’est la face sombre du travail, et heureusement ce n’est pas toujours comme ça et on peut s’épanouir dans le travail. On pourrait penser que seuls ceux qui s’éclatent au travail craignent de perdre leur job, car ils perdraient quelque chose qui leur apporte de la satisfaction.

Mais non, même ceux qui souffrent au travail ont peur de le perdre, alors qu’il est la source d’un réel inconfort. Il est intéressant de constater que cette peur est partagée par ceux qui s’épanouissent dans leur travail et ceux qui en souffrent. On peut donc dire que ce n’est pas la peur d’être licencié dont il est question ici, mais la peur de perdre sa vie : on perd ses ressources financières, on perd son statut social, on perd la sécurité d’une vie stable, on perd la tranquillité que nous apportent certaines tâches routinières, on perd des collègues et une entreprise, dans laquelle on a peut-être travaillé de nombreuses années. Perdre son emploi, c’est ouvrir la porte à un nombre incalculable d’inconnus. Or, le cerveau déteste l’inconnu.

Dès qu’il perd ses repères, il génère de l’anxiété. Face à tant d’inconnus, le cerveau évalue tous les risques possibles et retient les pires. La clé pour sortir de ce cercle vicieux et se libérer de sa peur d’être licencié(e) c’est donc de diminuer l’anxiété, il faut apprendre à mieux contrôler votre mental en évitant le trop-plein de pensées négatives. Ne ressassez pas en boucle des morceaux d’informations et d’impressions qui vous font penser que vous allez perdre votre emploi. C’est votre imagination qui construit vos craintes et vous fait interpréter la réalité. Votre cerveau croit vous protéger en vous obligeant à regarder le scénario du pire, mais ce n’est plus une bonne stratégie. Trop d’anxiété vous épuise et diminue votre potentiel d’action.

Mettez votre CV à jour

Vous pouvez y ajouter l’expérience et les nouvelles compétences que vous avez développées dans votre emploi actuel. Si vous avez un CV à jour, vous aurez l’assurance de pouvoir aller de l’avant rapidement en cas de renvoi. Vous savoir prêt(e) vous libèrera un peu de la peur d’être renvoyé  . Envoyez votre CV discrètement. Il vaut mieux que votre employeur actuel ne sache pas que vous recherchiez un  autre emploi.

Relisez votre contratRelisez votre contrat

Si une indemnité de départ est prévue pour votre emploi, vérifiez quel montant vous sera versé si votre contrat est résilié. Le fait de savoir qu’il y a un peu d’argent qui vous attend alors que vous êtes à la recherche d’un autre emploi vous soulagera un peu. Il peut arriver que les indemnités de départ vaillent jusqu’à six mois de salaire.

Recherchez des allocations de chômage

Vous pouvez vous servir de l’indemnité de chômage pour traverser la période de transition alors que vous êtes à la recherche d’un autre emploi. Vérifiez les conditions requises pour percevoir l’indemnité de chômage dans votre département et si vous les remplissez. En général, vous ne devez pas être à l’origine de votre propre licenciement. Si vous êtes mis à la porte pour négligence grave ou si vous démissionnez, vous serez inadmissible. Dans la plupart des cas, vous devez avoir travaillé au minimum la moitié de l’année antérieure pour percevoir une indemnité de chômage.

Obtenez des références

Pour quitter votre emploi, vous devez au préalable vous assurer d’avoir beaucoup de références qui vous aideront à garantir un nouveau travail. Des gens doivent se porter garants de votre éthique professionnelle. C’est également  une excellente idée de contacter vos références de temps à autre par téléphone ou par courrier électronique pour entretenir une bonne relation avec elles. Vous devez veiller à ce que vos références se souviennent de vous dans le but qu’elles soient davantage disposées à donner une appréciation élogieuse de votre travail aux futurs employeurs.

Rendez-vous disponible

Vous devez vous mettre dans une position de sorte à être recruté par des chasseurs de têtes d’autres entreprises. Contactez les services des ressources humaines d’autres sociétés dans votre domaine pour vous renseigner sur les postes à pourvoir. Informez-les que vous cherchez un nouveau travail. Vous ne devez pas informer votre employeur actuel de votre initiative.

Passez du temps à apprendre à vous connaitre

Vous devez libérer votre esprit du stress causé par cette situation. Si vous êtes effectivement renvoyé(e), vous disposerez de beaucoup de temps pour vous concentrer sur ce qui vous rend heureux(se). Vous pourrez apprendre de nouvelles choses à votre sujet et réévaluer vos objectifs de carrière. Vous pourriez découvrir que ce que vous voulez faire est complètement différent de votre ancien poste  .Passez du temps à apprendre à vous connaitre

  • Faites de votre santé une priorité. Faites de l’exercice. Adoptez une alimentation saine. Dormez beaucoup.
  • Faites de nouvelles expériences. Il y a des aventures peu couteuses dont vous pouvez profiter comme faire de la randonnée. Vous devez développer de nouvelles compétences que votre emploi vous empêchait d’apprendre.

Passez du temps avec ceux que vous aimez

Profitez de bons moments avec votre famille. Le fait d’être excessivement plongé dans le travail peut vous faire oublier les choses de la vie qui sont d’une grande importance. Si vous êtes renvoyé(e), cela vous permettra d’avoir du temps en plus pour vous rapprocher de vos parents, vos enfants, votre époux(se) et n’importe quelle autre personne qui est importante dans votre vie.

Recherchez des histoires de gens ayant vécu cette expérience

Bon nombre des personnes les plus prospères du monde ont été renvoyées par le passé. Parfois, le fait de perdre un poste qui ne vous convient pas peut vous inciter à trouver votre véritable vocation. J. K. Rowling a été renvoyée de son poste de secrétaire et a même été sans abri pendant une courte durée avant qu’elle n’écrive les livres de Harry Potter. Michael Bloomberg a perdu son emploi d’une banque d’investissement et il a lancé sa propre société de données financières en se servant de son indemnité de départ. Aujourd’hui, il détient l’une des entreprises les plus florissantes de la planète.

Retrouvez votre assurance

Avoir constamment peur d’être licencié peut être très préjudiciable à votre estime de vous. Lorsque vous n’aurez plus cet emploi, cela vous donnera l’occasion de vous souvenir combien vous êtes une personne formidable. Il n’y a que votre statut professionnel qui change lorsqu’on vous renvoie. Vous vous apercevrez que vous demeurez la même personne compétente et intelligente que vous étiez avant d’aller travailler à cet endroit et vous finirez par être accepté par une autre entreprise   .

Avertissements : Ne brulez pas les ponts. Même si vous avez l’impression d’avoir été maltraité, il vaut mieux vous en aller en bons termes. Vous n’avez aucune idée du moment où vous pourrez rencontrer les mêmes personnes dans votre secteur d’activité. Ne démissionnez pas avant qu’on ne vous renvoie. Si vous laissez votre travail pour ne pas souffrir de l’humiliation d’être licencié, vous deviendrez immédiatement inadmissible aux prestations de chômage et à l’indemnité de départ. Ne racontez jamais vos griefs à vos collègues. Les murs ont des oreilles !

Conclusion Retrouvez votre assurance

Il est normal de s’inquiéter de perdre sa situation professionnelle, mais cette crainte, si elle se transforme en anxiété chronique, va vous affaiblir et diminuer votre potentiel.  Comment se libérer de sa peur d’être licencié(e) : vous ne devez pas laisser votre peur d’être licencié vous empêcher de vous donner à fond dans votre travail. La peur tend à paralyser certaines personnes, une garantie que leurs performances en pâtiront. Soyez courageux(se). Cela peut être difficile d’accepter les critiques de votre employeur, mais vous l’impressionnerez par votre initiative de vous améliorer à votre poste. Méditez. Vous pouvez vous libérer l’esprit du stress au travail grâce à la méditation de sorte que votre crainte ne vous suive pas jusqu’à la maison.Je vous invite vraiment à faire cet exercice d’évaluation objective du risque d’être licencié. Votre inconscient a besoin d’informations conscientisées, basée sur des informations, sinon il ratisse large et exagère les risques.

Si vous avez cette crainte, je vous invite dès maintenant à mettre un pourcentage sur le risque véritable de perdre votre travail. Si vous évaluez par exemple le risque à 5%, ou 10%, c’est trop faible pour engager toutes vos émotions à cause de l’anxiété. Vous mettez en jeu votre qualité de vie et peut-être à long terme votre santé mentale. Et si le risque est très élevé, votre plus grande force sera de savoir gérer votre stress pour être capable de faire face à la situation.


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