COMMENT SURVIVRE DANS LA NATURE

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survivre dans la nature

Comment survivre dans la nature ?

Survivre dans la nature  : dans un environnement sauvage et parfois hostile, savoir comment survivre en pleine nature est essentiel. Le survivalisme, véritable art de la survie, regorge de techniques et de conseils précieux pour affronter les défis de la nature. Que vous soyez perdu(e) dans la forêt ou que vous souhaitiez vous mettre à l’épreuve de la vie sauvage, vous devez vous préparer si vous voulez survivre dans la nature. Certaines célébrités survivalistes vous diront probablement de boire des liquides organiques spécifiques. Toutefois, tant que vous vous en tenez à l’essentiel et que vous faites ce qu’il faut pour trouver de l’eau, construire un abri, obtenir de la nourriture et rester au chaud, vous avez vos chances de survivre dans ce genre de situation.

 

Techniques de survie

Maîtriser les techniques de survie est essentiel pour toute personne désirant passer du temps en pleine nature. Que ce soit pour une randonnée prolongée ou un scénario de survie imprévu, comprendre et pouvoir appliquer ces méthodes peut faire la différence entre la sécurité et le danger. Le premier élément à considérer est la construction d’un abri. Un bon abri protège des éléments et peut prévenir l’hypothermie. Utiliser des matériaux trouvés sur place comme des branches, des feuilles, et même la neige, permet de créer un espace isolant. Les formations rocheuses ou les cavités naturelles offrent également de bonnes bases pour un abri temporaire. La gestion de l’eau est une autre compétence critique. La déshydratation peut s’avérer mortelle en quelques jours à peine. Savoir localiser des sources d’eau, et plus important encore, comment purifier l’eau, est vital.

Les techniques incluent l’ébullition, l’utilisation de pastilles de purification ou de filtres sophistiqués. Pour approfondir, découvrez des méthodologies supplémentaires sur la gestion de la déshydratation lors de stages de survie dans des environnements extrêmes. Il est aussi capital d’acquérir des compétences en feu de camp. Le feu non seulement réchauffe et permet de cuisiner, mais il peut aussi être utilisé comme signal de détresse. Apprendre et pratiquer différentes méthodes pour allumer un feu avec des allumettes, des briquets, ou des méthodes plus primitives comme les arcs de fire-starting est bénéfique. La nourriture est une préoccupation majeure en situation de survie. Identifier les plantes comestibles locales peut constituer une source de nourriture vitale sans risquer l’intoxication alimentaire. Piéger de petits animaux ou pêcher sont également des options viables.

Des cours et des stages peuvent fournir une formation appropriée, comme ceux mentionnés sur cette plateforme. Enfin, savoir naviguer avec un compas et une carte est indispensable pour ne pas se perdre. Dans les cas où ces outils ne sont pas disponibles, connaître les techniques de navigation naturelle, telles que l’orientation par les étoiles ou par la position du soleil, devient cruciale.

Survivre dans la nature . L’identification de sources d’eau est cruciale pour la survie en milieu sauvage. Utilisez des techniques éprouvées pour localiser l’eau, comme chercher des zones où la végétation est particulièrement dense, ce qui peut indiquer la présence d’eau souterraine. Creuser des trous peu profonds dans les lits de rivières secs peut également révéler des poches d’eau souterraine. Une fois une source trouvée, il est essentiel de purifier l’eau. Les méthodes de purification incluent l’ébullition, l’utilisation de pastilles de purification, ou de filtres avancés. L’ébullition est l’un des moyens les plus sûrs de désinfecter l’eau, en tuant les pathogènes et les microorganismes. Pour des informations supplémentaires sur des kits de survie comprenant des filtres à eau, explorer les innovations récentes.

Dans le cas où les ressources sont limitées, comprendre comment récupérer l’eau de pluie ou condenser l’humidité de l’air peut être vital. Par exemple, des toiles peuvent être disposées pour capter la rosée matinale ou l’eau de pluie, qui peut ensuite être dirigée vers un récipient propre. Savoir repérer les signes d’eau dans l’environnement peut servir à éviter l’épuisement et l’hydratation, des composants essentiels à la gestion des risques pendant les activités de survie en nature.Survivre dans la nature .

Il peut s’agir d’une rivière, d’un ruisseau, d’un lac ou d’un étang. L’eau s’écoule vers le bas, donc vous devez chercher dans les dépressions de la terre et des vallées. Si vous êtes dans une région montagneuse, il y a de fortes chances que si vous marchez parallèlement à une montagne, vous trouviez un ruisseau ou une rivière .Si vous trouvez un point d’eau, vous devez construire votre abri à proximité. Cependant, évitez de vous installer au bord de la rivière ou du ruisseau. Il y a de fortes chances que des animaux (potentiellement dangereux) fréquentent l’endroit pour se désaltérer .

Survivre dans la nature : que ce soit l’eau d’un lac, d’un étang, d’un ruisseau ou d’une rivière, vous devez toujours la faire bouillir avant de la consommer  . Si vous avez un récipient métallique, mettez-le sur votre feu pour faire bouillir votre eau pendant au moins 20 minutes afin de la stériliser. Si vous n’avez pas de récipient que vous pouvez mettre sur le feu, vous pouvez toujours faire bouillir votre eau dans un « puits d’ébullition   ».
  • Pour faire bouillir de l’eau dans un puits d’ébullition, creusez un trou d’approximativement 50 cm de large sur 50 cm de profondeur à côté de votre feu de camp .
  • Ensuite, séparez l’argile de la terre (elle sera collante et rougeâtre), puis appliquez-la sur les parois du trou en vous assurant qu’il n’y a pas de fissures ou d’ouvertures dans la couche d’argile .
  • Utilisez un récipient comme un chapeau ou une chaussure pour transporter l’eau de votre source à la fosse jusqu’à ce qu’elle soit pleine  .
  • Une fois votre puits rempli, faites chauffer des pierres sur votre feu de camp. Chauffez-les pendant environ 10 minutes, puis plongez-les dans le trou. Remplacez régulièrement les roches qui ont refroidi dans l’eau par celles que vous venez de chauffer jusqu’à obtenir une ébullition constante pendant 20 minutes  .

Avant de vous endormir, creusez un trou d’environ 30 cm de long sur 30 cm de large pour 30 cm de profondeur. Le trou devrait se remplir durant la nuit. L’eau obtenue sera boueuse, mais vous pourrez la filtrer avec un morceau de tissu comme votre chemise  . Si vous n’avez pas de récipient pour filtrer votre eau, vous pouvez utiliser votre chemise pour l’absorber avant de l’essorer dans votre bouche. La chemise devrait retenir une bonne partie de la boue .

Le matin, vous pouvez utiliser votre chemise pour recueillir l’humidité du sol et des plantes. Il suffit de l’enfoncer dans le sol et elle devrait absorber un peu d’eau que vous pourrez essorer dans votre bouche. Durant la journée, trainez votre chemise derrière vous dans les sous-bois. Elle absorbera un peu d’humidité des feuilles que vous pourrez ensuite également essorer dans votre bouche .

Préparation mentaleSurvivre dans la nature

Survivre dans la nature : la préparation mentale est cruciale pour assurer la survie en conditions extrêmes. Cette approche ne se limite pas seulement à la gestion de la peur ou du stress, mais englobe également la capacité à prendre des décisions rationnelles en situation de pression. La formation d’une résilience psychologique commence par l’acceptation de la réalité du danger sans céder à la panique. Il est indispensable de développer des techniques de< strong>contrôle émotionnel, telles que la méditation ou la visualisation, techniques souvent utilisées par les athlètes pour améliorer leurs performances comme discuté dans une étude sur l’optimisation de la préparation mentale des sportifs. Il est également essentiel de se former aux techniques de survie pratique. La connaissance des compétences de base en survivalisme, telles que la construction d’abris, la purification de l’eau, le feu de camp et la recherche de nourriture font partie intégrante de la préparation. L’éducation continue à travers des cours spécialisés et des expériences réelles améliore non seulement les compétences physiques mais renforce également le mental.

Prendre conscient de ses propres limites et savoir quand demander de l’aide est un autre aspect de la préparation mentale. Reconnaître les signes de fatigue mentale et physique peut sauver des vies, permettant une gestion efficace des ressources personnelles et matérielles en situation de survie. Pour plus d’informations sur la préparation mentale, l’article de Dorian Coninx offre un aperçu détaillé. En résumé, la préparation mentale en survivalisme nécessite un entraînement constant, une bonne compréhension de la psychologie humaine et une acquisition rigoureuse de compétences techniques. La clé du succès repose sur l’équilibre entre la préparation psychologique et physique, permettant ainsi une adaptation rapide et efficace aux divers scénarios de survie.

Garder son calme

Garder son calme est essentiel pour la survie en pleine nature. Cela implique une gestion efficace du stress et des émotions potentielles connexes. Les techniques de préparation mentale peuvent être influentes dans ce contexte, à l’instar des méthodes utilisées par les athlètes de haut niveau pour améliorer leur performance sous pression. Lorsqu’on se trouve isolé en milieu naturel, le maintien d’une attitude positive et centrée peut faire la différence entre le succès et l’échec. Il est donc crucial de pratiquer des techniques de relaxation et d’auto-encouragement régulières qui peuvent être adaptées aux situations de crise. Des méthodes telles que la visualisation, la méditation ou même la simple respiration profonde peuvent contribuer à stabiliser l’esprit et à maintenir un état psychologique solide.

Les experts recommandent de travailler avec des spécialistes ou des ressources dédiées à la psychologie du sport pour développer des stratégies de gestion du stress efficaces. Des ressources comme l’importance de la préparation mentale et des podcasts dédiés peuvent offrir des insights précieux en la matière. Entraîner l’esprit à reconnaître et à réagir correctement aux différents scénarios aide également à forger une résilience mentale nécessaire pour naviguer à travers le stress de l’inattendu. Sensibiliser et entraîner régulièrement son esprit à cette forme de discipline peut sauver des vies en conditions extrêmes.

Il est aussi bénéfique de maintenir un régime régulier de préparation mentale même en dehors des situations de survie, permettant ainsi une transition plus fluide en cas d’urgence soudaine en plein air.

Évaluer la situationÉvaluer la situation

La survie en pleine nature exige bien plus que la connaissance des techniques de base: la préparation mentale est cruciale. Elle permet d’évaluer correctement la situation et de réagir de manière appropriée. Comprendre et maintenir son équilibre psychologique est aussi vital que l’aptitude à purifier de l’eau ou allumer un feu. Pour évaluer la situation, il est essentiel de rester calme pour analyser les risques et les ressources disponibles. La panique est l’ennemi de la prise de décision rationnelle. Entraîner son esprit à résister à l’adversité et à la peur peut faire la différence entre survivre et succomber. Plusieurs méthodes peuvent contribuer à renforcer cet aspect, notamment la méditation, la visualisation, ou les exercices de respiration contrôlée.

Une méthode efficace pour développer une forte résilience mentale consiste à se familiariser avec les scénarios de stress via des simulations contrôlées. Cela pourrait inclure des expériences immersives en trail pour se confronter physiquement et mentalement aux défis de la nature. Il est également bénéfique de se former via des programmes académiques spécialisés. Ces derniers offrent souvent des modules sur la gestion du stress et la psychologie de la survie. Entreprendre un master en optimisation de la performance sportive peut par exemple équiper les individus des outils nécessaires pour mieux gérer les pressions psychologiques extrêmes.

La préparation mentale n’est pas seulement une affaire de professionnels. Chaque individu, confronté à un milieu hostile, gagnerait à développer une forte tolérance au stress et une capacité à rester concentré sous pression. Cela commence par accepter la possibilité du pire scenario tout en travaillant mentalement à cultiver l’espoir et la détermination de persévérer quelles que soient les circonstances.

Si vous voyez des fourmis grimper aux arbres, il y a de fortes chances qu’elles se dirigent vers un dépôt d’humidité qui s’accumule dans l’une des rainures du tronc.  Survivre dans la nature : suivez la piste des fourmis jusqu’à leur destination et, si elle est à portée de main, appuyez votre chemise contre l’accumulation d’eau pour absorber l’humidité. Ensuite, vous pourrez l’essorer dans votre bouche [12] . Faites attention à ne pas avaler de fourmis quand vous utilisez cette méthode. Elles peuvent avoir des pinces .

Construire un abri

La capacité à construire un abri efficace en pleine nature est une compétence essentielle pour tout amateur de survivalisme. Cela assure non seulement la protection contre les éléments tels que le vent, la pluie et d’éventuels prédateurs, mais offre également une base pour votre séjour en milieu sauvage. Afin de choisir l’emplacement idéal pour votre abri, sélectionnez un espace stable, de préférence plat et à l’abri du vent direct. Il est également judicieux de se placer près de ressources telles que l’eau et le bois, tout en s’assurant que le site ne risque pas d’inondation. La sélectionne un endroit qui offre un avantage stratégique en termes de visibilité et de sécurité. Pour la construction, il vous faudra des matériaux tels que des branches solides pour la structure et des matériaux isolants comme des feuilles, de la mousse ou de la paille pour le toit et les murs. L’objectif est de créer une structure apparaissez qui puisse vous garder au sec et au chaud.Construire un abri

La forme la plus simple et la plus efficace est souvent une hutte de type Lean-to, qui se construit en appuyant des branches longues contre une branche horizontale supportée par deux arbres ou en les adossant à une pente de terre. Pour compléter, assurez-vous de couvrir l’extérieur avec des matériaux qui repousseront l’eau et retiendront la chaleur. Pour ceux intéressés par des techniques plus sophistiquées, les stages de survie en pleine nature proposent des instructions détaillées sur des constructions d’abris avancés, incorporant des matériaux divers et des méthodes d’isolation améliorées. Enfin, il est crucial d’apprendre à utiliser efficacement les ressources locales sans nuire à l’environnement. La capacité à innover par fait à détection soit ici, même dans des situations extrêmes, est ce qui distingue souvent les survivants des victimes en situations de survie. Des compétences de base en survie hivernale peuvent également s’avérer vitales, en particulier dans les environnements froids.

En maîtrisant ces techniques, tout individu peut augmenter significativement ses chances de survie et d’autonomie en pleine nature, tout en minimisant son impact sur l’environnement environnant.

Survivre dans la nature : vous devez construire votre abri contre une large surface qui peut bloquer les vents et vous dissimuler des animaux prédateurs. Cherchez près de votre point d’eau (si vous en avez un) des arbres tombés ou des affleurements rocheux .Assurez-vous qu’aucun animal n’a déjà élu domicile dans les environs .

Le sol de la forêt est généralement jonché de branches tombées, donc vous ne devrez pas avoir besoin d’en couper sur les arbres. Cherchez de grosses branches dans la forêt et appuyez-les aussi proche que possible contre l’arbre ou la roche  .

  • Idéalement, les branches doivent être aussi droites que possible et mesurer environ 2 m de long sur 5 cm de large pour 7,5 cm de diamètre .
  • L’abri doit être petit, mais suffisamment grand pour que vous puissiez y rentrer en étant recroquevillé(e). Plus l’abri est petit, plus il vous sera facile de le réchauffer avec votre chaleur corporelle .

Peu importe que vos grandes branches soient droites ou rapprochées, il y aura toujours des espaces entre elles. Comblez ces vides avec des branches plus petites. Ensuite, couvrez tout l’abri avec des feuilles et des débris que vous aurez ramassés par terre dans la forêt  .

Vous ne pourrez pas conserver votre chaleur corporelle si vous dormez sur le sol humide. Empilez une couche de feuilles sèches ou d’aiguilles de pin (ou les 2) à l’intérieur de votre abri pour vous isoler de la terre froide sous votre corps  . Vous devez remplacer le couchage de votre abri chaque fois que vous pourrez trouver des feuilles ou des aiguilles sèches .

Survivre dans la nature : si vous êtes dans un désert plutôt que dans une zone boisée, construisez votre abri en creusant une dépression dans le sol. Utilisez le sable que vous retirez pour former une barrière protectrice autour. Ensuite, couvrez la dépression avec des broussailles si vous en trouvez, ou avec tout tissu à votre disposition pour vous protéger des éléments

Pour construire un abri dans un environnement enneigé, creusez une tranchée un peu plus longue que votre corps dans la neige puis empilez la neige que vous avez retirée autour pour former une barrière contre les éléments. Ensuite, créez le toit de votre abri en formant un treillis avec des bâtons au-dessus de votre abri et empilez la neige tassée sur le tout  .

Mangez des insectes

Survivre dans la nature : les insectes peuvent être une excellente source de protéines et de nourriture dans la nature. Cherchez sur le sol et creusez dans la terre pour trouver des vers, des coléoptères, des sauterelles et des grillons. Cherchez notamment dans les parcelles de terre humide et dans les buches en décomposition. Les insectes adorent l’humidité  .

  • Évitez de manger tous les insectes que vous trouverez. Certains sont venimeux ou ont des pinces .
  • Avant de manger les insectes, enlevez leurs extrémités et leur carapace extérieure s’ils en ont. Ensuite, écrasez-les avec une pierre et faites cuire la pulpe sur votre feu  .

Cherchez à la base des arbres des noix comestibles comme les glands. Vous pourrez les faire griller sur un feu puisqu’ils sont une précieuse source de protéines . Certains arbres, notamment les pins, les épicéas et les sapins (tous les arbres à feuilles persistantes avec des aiguilles) ont une écorce intérieure comestible. Si vous en trouvez un, ouvrez son écorce avec une pierre pour atteindre la couche interne comestible, de couleur crème et qui est caoutchouteuse  .

  • Les aiguilles de pin peuvent également être trempées dans de l’eau chaude pour faire du thé. Le thé aux aiguilles de pin est une source de nutriments précieux, en particulier de vitamine C  .
    • Si vous êtes enceinte, évitez de boire du thé aux aiguilles de pin, car il est nocif pour les bébés à naitre .

Survivre dans la nature : durant vos déplacements dans la journée, essayez de trouver des nids d’oiseaux avec des œufs, au sol parmi les racines des arbres ou en hauteur dans les branches. Vous pouvez ramasser les œufs et même éventuellement attraper l’oiseau lui-même si vous avez la patience d’attendre qu’il retourne au nid  .

  • Pour cuire un œuf sans une poêle, percez légèrement un trou de 1 cm de large sur 1 cm de long sur sa partie supérieure avec une petite branche  .
  • Ensuite, utilisez un bâton pour rapprocher une partie des braises du feu jusqu’au bord de votre foyer puis creusez une dépression circulaire pour y mettre l’œuf  .
  • Placez l’œuf dans le lit de charbon et laissez-le cuire pendant 5 à 10 minutes (vous devrez être en mesure d’estimer sa cuisson en regardant par le trou sur le dessus  ).
  • Une fois l’œuf cuit, vous pourrez retirer sa coquille et le manger !

Trouvez un jeune arbre feuillu et utilisez une pierre pour l’abattre. Vous aurez besoin d’un jeune arbre d’environ 1,5 m de long et d’au moins 2,5 à 5 cm de diamètre. Utilisez votre pierre pour tailler les branches et aiguiser l’extrémité en pointe. Ensuite, durcissez la pointe en la tenant au-dessus de votre feu . Si vous emportez votre lance avec vous durant la journée, vous pourrez l’utiliser pour tuer habilement de petits animaux comme les lapins, les écureuils, les grenouilles et les poissons avant de les faire rôtir sur votre feu  .

Survivre dans la nature : les lézards et les cactus sont la meilleure source de nourriture dans le désert. De nombreuses variétés de cactus ont des raquettes (feuilles) comestibles pouvant être mangées crues. Enveloppez d’abord votre main dans votre chemise pour la protéger des épines et retirez les raquettes de la plante. Ensuite, utilisez une pierre pour retirer les parties piquantes avant de manger la raquette. Pour attraper un lézard, vous devez faire preuve d’habileté. S’il y en a un à côté de vous, restez aussi immobile que possible jusqu’à ce qu’il s’approche, puis attrapez-le aussi vite que vous le pourrez . Si vous envisagez de manger un lézard, faites-le cuire autant que possible pour éviter la salmonelle. Privilégiez la chair de la queue et évitez la bouche, car c’est là que la salmonelle est souvent la plus répandue  .

Si vous êtes près de l’océan dans une région froide, vous pouvez attraper des poissons en creusant des trous dans les zones où la marée haute rencontre la marée basse (vous devrez d’abord observer les marées pour identifier les meilleurs endroits pour vos trous). Les poissons seront piégés à l’intérieur à mesure que descendra la marée. Si vous n’êtes pas près de l’océan, vous pouvez toujours attraper des poissons en fabriquant une lance et en l’utilisant pour attraper des poissons dans les rivières et les lacs .

Survivre dans la nature : dressez un feu à au moins 1,5 m de votre abri en creusant un trou de 50 cm de long sur 50 cm de large pour 15 cm de profondeur avec une pierre et en plaçant des cailloux tout autour . Une fois que vous aurez creusé votre foyer, formez une petite pile de feuilles ou d’aiguilles de pin comme bois d’allumage .

Cherchez un morceau de bois dur ou de roche avec une motte de gazon à l’intérieur pour que le haut de votre foret puisse y reposer. Ensuite, prenez un morceau de bois tendre et percez un trou à travers à l’aide d’une pierre pointue. Faites une coupe triangulaire du bord du bois tendre jusqu’au trou, avec la pointe du triangle au niveau du trou. Trouvez une branche verte et flexible puis nouez un de vos lacets à chacune de ses extrémités pour former un arc .

  • Si vous n’avez pas de lacets et que vous êtes dans une zone boisée, créez une ficelle en creusant dans un arbre avec une pierre jusqu’à la couche interne fibreuse, en tirant les fibres puis en les attachant ensemble  .
  • Si vous n’êtes pas dans une zone boisée et que vous avez besoin de ficelle, vous pouvez la créer en coupant des bouts de cheveux et en les attachant ensemble  .
  • Si vous n’avez pas assez de cheveux, vous pouvez faire une ficelle en attachant ensemble des morceaux de broussailles .Faites un foret à l’archet

Survivre dans la nature : positionnez votre bois tendre dans le foyer de manière à ce que le bois d’allumage remplisse la coupe triangulaire sur le bord. Ensuite, placez votre foret dans le trou avec la ficelle de votre arc enroulée autour en une seule boucle, l’arc étant parallèle au sol. Immobilisez fermement le bois tendre avec votre pied, puis placez le haut du foret dans la motte de terre du bois dur ou de la roche que vous avez trouvée pour la maintenir fermement en place. Tirez l’arc d’avant en arrière de manière à ce que le foret tourne et crée une friction sur le bois tendre, ce qui produira une étincelle .

  • Après plusieurs minutes de sciage vigoureux, vous devrez commencer à voir de la fumée. Vous pourrez alors souffler doucement sur le bois d’allumage pour favoriser la propagation de l’étincelle  .
  • Une fois que votre bois aura commencé à bruler, formez une pyramide autour de celui-ci avec des brindilles et de l’écorce au centre, puis construisez une autre pyramide autour de la première avec de petites branches et enfin une dernière pyramide autour de l’ensemble avec de plus grosses branches [49] .
  • Une fois que vous aurez allumé votre premier feu, vous devrez l’entretenir en permanence en y ajoutant du bois tout au long de la journée [50] .

Survivre dans la nature : le corps crée de la chaleur lorsqu’il métabolise les aliments et vous pouvez utiliser cette chaleur à votre avantage. Mangez des aliments riches en graisses comme des noix, des insectes et des petits animaux, juste avant de vous endormir pour que votre corps puisse créer de la chaleur la nuit, quand il fait le plus froid  .

Au moment de vous endormir dans votre abri pour la nuit, couvrez-vous de quelques couches de terre, de débris et de feuilles que vous avez ramassées durant la journée. Cela vous servira d’isolation contre l’air froid de la nuit . Attention à ne pas avoir chaud au point de transpirer. La sueur refroidira votre corps et humidifiera votre couchage, ce qui affectera sa capacité à vous isoler du froid .

C’est d’autant plus important dans les climats tropicaux où les pluies sont fréquentes. S’il pleut, vous devez rester dans votre abri. Si vous êtes mouillé(e), essayez de vous sécher et de sécher vos vêtements aussi bien que possible. Rester mouillé augmente le risque de maladies et d’infections fongiques .

Les prédateurs sont un problème, quelle que soit la région du monde où vous vous trouvez. Pour les éviter, vous devez faire en sorte de les prévenir de votre arrivée en sifflant ou en chantant sur votre parcours. Vous devez également éviter les odeurs de nourriture sur votre campement en jetant vos restes d’aliments au loin. Si vous tombez sur une carcasse d’animal fraichement tué, il est préférable de vous en éloigner le plus possible, car certains prédateurs s’éloignent de leur nourriture pendant un certain temps avant d’y revenir  . Si vous rencontrez un prédateur, ne paniquez pas. Ne regardez pas l’animal dans les yeux et éloignez-vous calmement de lui en vous faisant paraître le plus grand possible en agitant vos bras en l’air .

Survivre dans la nature : Cette astuce vous évitera les éraflures et les piqures d’insectes qui peuvent provoquer une infection. C’est d’autant plus important dans les climats tropicaux, où le temps chaud et humide peut accélérer les infections et où de nombreux insectes locaux sont potentiellement toxiques. Si vous n’avez pas de vêtements à manches longues ou de pantalons, couvrez votre peau en enroulant des feuilles autour de vos bras et de vos jambes avant de les attacher avec des brindilles souples  .

Survivre dans la nature : évitez également le surmenage jusqu’à ce que l’os soit guéri. Si vous êtes dans une zone forestière, vous pouvez mettre une attelle à un os cassé en alignant 2 branches d’arbre de chaque côté du membre blessé et en les attachant avec des lacets ou de jeunes branches souples. Si vous n’êtes pas dans une zone forestière et que vous ne trouvez pas de branches, vous devrez éviter autant que possible de déplacer l’os pour qu’il puisse guérir correctement. Dans tous les cas, vous devrez vous reposer au maximum pour donner à l’os l’énergie nécessaire pour se réparer  .

Si vous sentez que vous commencez à tomber malade ou si vous l’êtes déjà, la meilleure chose que vous pouvez faire pour votre bienêtre est de rester hydraté(e) et de vous reposer. Restez à l’intérieur de votre abri et gardez de l’eau à proximité durant votre convalescence. Vous devez également essayer de rester au chaud. Les corps froids ne guérissent pas aussi vite  .

ConclusionSurvivre dans la nature

Rester hydraté(e) doit être votre priorité. Vous pouvez survivre plusieurs jours sans abri et quelques semaines sans nourriture, mais vous commencerez à ressentir les effets de la déshydratation en quelques jours. La survie en milieu sauvage consiste essentiellement à créer et à stocker des niveaux d’énergie adéquats. Veillez à manger suffisamment, à dormir suffisamment et à ne pas faire de mouvements inutiles. Ne mangez aucune plante à moins de savoir si elle est comestible ou pas. Les plantes non comestibles peuvent vous rendre malade et vous déshydrater. Lorsque vous vous déplacez durant la journée, marquez votre chemin en faisant des entailles dans les arbres avec une pierre ou en empilant des pierres. De cette façon, vous ne risquez pas de vous perdre.

Si vous rencontrez un gros animal, éloignez-vous lentement de lui jusqu’à ce que vous soyez hors de portée. Des mouvements rapides lui signaleront que vous êtes une menace et même les animaux non prédateurs risquent de vous attaquer.


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