Comment réaliser vos rêves ?
Des rêves vous en avez plein la tête. Mais quand il s’agit de passer à l’action pour les réaliser, vous voyez les difficultés poindre leur nez et vous repoussez sans cesse votre projet. Réaliser ses rêves, c’est 80% de maîtrise de soi et de psychologie. Le reste c’est de la gestion de son temps. Avoir des rêves est très enraciné dans l’être humain. L’écrivain Milan Kundera soutient même que rêve est la preuve qu’imaginer, rêver ce qui n’a pas été, est l’un des plus profonds besoins de l’homme. Dans la plupart des cas, réaliser ses rêves n’est jamais le fait du hasard . Pour y parvenir , vous devez avoir une vision claire et précise, mais aussi, redoubler d’efforts. Nous aimons toutes et tous regarder des personnes qui nous inspirent ,car elles nous donnent envie de partir à la conquête de nos rêves.
Pourtant, peut ont le courage et la force de se prendre en main pour les réaliser. Certains rêvent constamment sans jamais passer à l’action, quand d’autres agissent massivement pour voir leurs rêves devenir réalité. Voici quelques conseils pour ne plus rêver votre vie mais vitre vos rêves.
Identifier ses rêves
On a tous des envies, des projets, des rêves… Bien sûr, tous ne pourront être réalisés certains même s’envolent aussi vite qu’ils étaient venus. Mais certains reviennent sans cesse à l’esprit et donnent envie de les concrétiser . ?Le rêve, c’est le point de départ, il doit naître d’une envie profond et germer en nous depuis longtemps, ça évite de se lancer sur un coup de tête et d’abandonner aussi rapidement. Il doit être réaliste et à sa porté(e) pour rester mobilisé(e) dans le temps?, confie Johanne Rozenblum, ancienne styliste ayant elle-même repris ses études à la trentaine et une fois maman pour réaliser son rêve : devenir psychologue. Une profession qu’elle exerce désormais à Paris en libéral.
Se connaître
Pour réaliser son rêve il faut se reconnecter à un soi profond qui a pu être inhiber pour des raisons éducative, financière, par un manque d’estime de soi … Cela revient à faire un travail d’instropection, à faire le point sur sa vie, ses aspirations réelles, pas celles que les autres ont pour soit. Mieux vaut également bien se connaître, reprendre ses forces pour s’appuyer dessus et connaître ses faiblesses .
Cela permet d’anticiper les difficultés. ? l’idée n’est pas de se laisser assaillir par celles-ci, mais de trouver des solutions. S’entourer de gens compétents dans tous les domaines où l’on a des lacunes, se former soi-même…?suggère la psychologue Johanna Rozenblum.
Se focaliser sur le positif
L’écueil à éviter : Se dire que de toute manière c’est impossible, et qu’on n’y arrivera jamais. Voir toujours les événements du côté négatif,
Croire en soi et en son potentiel
Les grands hommes et femmes ont toujours cru en leurs projets. De Beethoven à Bille Gates en passant par Marie Curie, tous avaient un but. Même lorsqu’ils ont dû passer à d’autres choses en attendant, ils n’on jamais perdu de vue leur objectif. Charlie Chaplin par exemple, a toujours su qu’il voulait être comédien, et même lorsqu’il était vendeur de journaux ou fabricant de jouet, il n’à oublier son dessein final. Acquérir la certitude absolue d’atteindre un but donne les moyens d’y accéder : à force de se mettre dans la peau d’un personnage, on finit par le devenir ! L’important est donc ne jamais oublier la où l’on veut aller et de croire en son potentiel.
L’écueil à éviter : on a souvent tendance à se dire qu’on aimerait bien se lancer dans tel ou tel projet mais on a peur de ne pas être à la hauteur ou tendance à penser que ce n’est pas notre destinée.
Prendre des risques
Pas de challenge, pas de plaisir, c’est aussi simple que ça. Là on se parle de rêves avec un grand R. Et forcément, ceux-là demandent de faire appel à une partie de vous qui ne pointe pas souvent le bout du nez : le courageux l’ intrépide, le ? je prends des risques et je m’en fous, moi d’abord?on dit que la magie se trouve hors de la zone de confort ? Je confirme. Personnellement, je l’ai trouvé seule sur les routes interminables du bush australien, pas lavé depuis 4 jours et avec un van qui ressemblait plus à une carcasse de voiture abandonnée qu’un moyen de locomotion ( sans parler du fait que c’était aussi ma maison ! ) certains diront que c’est inconscient. Je vous dis que ces magique !
N’ayez pas peur d’échouer
Ou de réussir, ce le va sans dire ! Parce que oui, quand a on tous quelques chose d’un peu fou, il y a en effet la peur de ne pas réussir. Et alors ??? Pour échouer, il faut déjà essayé. Mais avant, de partir en Australie, des poches de ma mère la consolait déjà en disant que dans deux mois, j’en aurais ma claque plus une tune et que rentrerai illico presto dans le cocon familial. Que nenni ! J’ai mené mon avantur jusqu’au bout ! Et ça s’est tellement bien passé que j’ai même prolonger de quelques mois en Asie, et toc ! Alors déjà, lancez-vous. Et en bonus, ça peut bien se passer ! Et si se passe mal ? Et bah ce n’est pas grave, vous ferez mieux la prochaine fois !
Réaliser ses rêves ne va pas sans quelques moments de grande solitude
Peurs, déception, frustration, solitude, doutes, autant de sentiments négatifs qui pointe régulièrement le bout de leur nez sur le chemin du (Dreams come true) . Et autant dire que malgré les bons copins et de soutien familial, on est peu seul(e) face à ses sentiments. Surtout que, quand vous dites que vous voyager en Australie par exemple, tout le monde vous croit en vacances, les doigts de pieds en éventail au bord des plus belles plages du monde. Sauf que la plupart du temps, vous êtes en introspection profonde au volent de votre voiture à essayer de comprendre ce que vous foutez sur cette fichu planète. Mais ça, personne ne le sait…
Vous allez vous marginaliser
On en parle rarement mais vivre la vie de ses rêves arrive souvent à une certaine marginalisation. Car sortir de moule, malheureusement, ne va pas sans quelques désagréments. Votre entourage, même trop proche, ne comprend pas toujours vos choix. Vous êtes considéré comme LE marginal de la bande, celui qui a pété une pile et qui a décidé de vitre dans un van en Australie . Et face à cette pression social, vous-même allez parfois un peu flancher et vous demander pourquoi vous vivez tout ce toutim. Vous ne pourriez pas vous contenter d’une bonne soirée pizza devant l’amour est dans le pré comme tout le monde ??? Mais bon, n’oubliez pas que vous menez un combat vers le sens de votre vie, cela vaut bien quelques moments de solitude.
Accepter-vous tel que vous êtes
Et là, je relis la phrase pour moi également. Car c’est certainement l’un de mes plus gros problèmes : j’ai peur de ne pas plaire à tout le monde. J’ai horreur d’imaginer que quelqu’un puisse me rencontrer pour la première fois et se dire : pfou, elle est chtarbée cette gonzesse. Complètement hors de la réalité… Non mais elle se prend pour une héroïne de roman avec ses idées de vivre ses rêves d’aventure et tout ce tralala ?! Quelle conne… Il y en aura toujours pour vous saper le moral, même inconsciemment. Mais nous sommes tous différents. Nous avons tous nos rêves et nos peurs. Celui qui vous critique à aussi ses propres névroses, croyez moi ( et la jalousie amène souvent à la crique) . Alors ne perdez pas de vue qui vous êtes et ce qui fait battre votre cœur. C’est un grain de sable qui deviendra un jour une jolie perle. Mais j’ai envie de contaminer les autres avec ma joie de vivre et j’assume ! Na !
Arrêtez de vous comparer aux autres
Encore un paragraphe que je peux relire 1000 fois au bas mot. Encore une fois, vous êtes ce que vous êtes, et il est inutile de se comparer aux copin(es) qui sont partie dans des chemins de vie très différents. Oui, quand j’entends certaines des mes amies qui gagnent maintenant 3000 € par mois, achètent des appartements et font des bébés, je me dis que j’ai sérieusement pété un câble avec mes idées professionnelles de blog de voyage pour lequel je ne gagne pas un rond, mon retour dans des coloc à 12 et mes vitrées a sac-à-dos et chaussettes sales au fin fond du Vietnam. Mais bon, je ne suis pas prête à rentrer dans ce monde . Peut-être bien que vous non plus, et il n’y a rien de mal à ça.
Il va valoir travailler dur
En principe, démarrer le chemin vers la vie de ces rêves relève plutôt du combat. Que vous ayez décidé de devenir champion olympique d’escrime, écrivain acteur de cinéma un fabricant de bonbons. Je ne vous explique même pas le nombre d’heures que vous allez passer sur votre projet. Puisqu’en principe, vous n’êtes pas du tout parti dans la voie de vos rêves (auquel cas cela veut dire que vous le vivez déjà et tant mieux pour vous) vous allez devoir travailler dur pour rattraper le retard dans vos compétences et connaissances. J’ai décidé de mettre le doigt dans l’activité free lance de rédactrice de voyage et blogueuse. De l’extérieur, on croit que c’est chouette, qu’il suffit de voyager partout , raconter sa vie et mettre quelques photos aux couleurs saturées sur Instagram.
En faite, 80 % de mon temps passe en SEO. analyses de chiffres, démarchage de clients et réponses de mails.
Prenez du temps pour vous
Ayez un objectif claire
Quand je suis rentré de mon périple australien, tout ce que je savais est que je ne voulais pas retourner dans mon ancien job en marketing. Je souhaitais continuer à vivre ma passion, voyager, mais je voulais aussi lui trouver un sens. Car voyager pour voyager, c’est bien, mais sans autre objectif que de cocher les pays sur une carte, je ne voyait pas trop l’intérêt. Et puis j’ai réaliser qu’a travers le blog que j’avais tenu pendant un an pour ma famille et mes amis, j’avais réussi à communiquer mon enthousiasme sur mon voyage et à transmettre à certains l’envie de se lancer à leur tour. Waouh, j’ai trouver comment lier ma passion à une mission bien plus large et passionnante : inspirer d’autres gens à faire le grand saut et à réaliser, eux aussi leurs rêves. J’adore !! L’objectif est là ! Maintenant au boulot !
Think positif
Votre perspective peut tout changer ! Et je vous conseille de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, cela vous épargnera beaucoup d’énergie. Ne pensez pas que vous êtes la personne la plus malchanceuse du monde, et que votre vie est nulle. Car cela ne tient qu’a vous de changer tout ça ! Juste avant de partir en Australie, je sortait d’une relation longue. J’ai déménagé dans une ville où je ne connaissais personne, et ma vie se résumait à aller au travail, faire les courses et manger des muffins au chocolat devant la télé en pyjama rose. Il ne manquait plus que le chat… Et puis je me suis dis : attends, c’est ta vie là, Pauline ?! Faudrait peut-être se bouger un peu le zoukous si tu veux qu’il t’arrive quelque chose.
Vous êtes l’auteur de votre vie, vous prenez vos responsabilités. Et du coup si vous faites des choix positifs en principe, vous devriez vous voir vivre une vie absolument géniale !!!
Oubliez l’argent pendant un moment
Okay, notre société actuelle est complètement menée par l’argent, j’entends bien. Et cela semble difficile d’oublier cet élément quand il s’agit de payer les factures à la fin du mois et de manger. Mais essayez quand même. Faites comme si l’argent n’existait pas. Que ferez alors,quel métier ? quelle passion ? C’est sur cela qu’il faut passer du temps. À mon retour de voyage , j’ai compris que le voyage ferait partie intégrante de ma vie pour les années à venir. L’écriture aussi. Le partage. Les rencontres. Je passe beaucoup de temps à ça, j’y travaille dur. Peut-être qu’un jour serais rémunérée pour mon travail (ça commence un petit peu). En attendant, j’essaye de faire mes preuves chaque jours. Je fais encore des petits boulots purement alimentaire parfois en totale inadéquation avec les études supérieures que j’ai faites.
Mais cela n’a pas d’importance, puisque je passe beaucoup de temps sur ce que j’aime. Et les factures sont tout de même payées. J’accepte de faire des sacrifices aujourd’hui pour peut-être ne plus en faire demain. Elle est pas belle la vie ?
Appliquer la loi d’attraction
Lorsque l’on est de bonne humeur, on attire des personnes qui sont dans la même énergie que nous. L’idée est vraiment de se centrer sur ses succès pour en générer d’autres. En agissant positivement, les éléments extérieurs répondent de manière positives. En ayant plus de patience, on s’énerve moins finalement, et les choses glissent d’elle-même.
L’écueil à éviter : plus on est dans une dynamique, plus on génère des événements en adéquation avec celles-ci. Autrement dit, lorsque l’on se lance dans une spirale d’échec, on l’attire aussi. Par exemple, lorsque l’on se lève de mauvaise humeur, on est prêt à recevoir toutes les tuiles du monde sur sa tête on reverse le café,on accroche la voiture, on fait planter l’ordinateur…
Se projeter
Pour mener un projet à bien, il est important de savoir exactement ou l’on veut aller, c’est essentiel pour la motivation . Pour se mettre en condition, on peu s’imaginer réussir. On se visualise en ayant atteint son but et on essaye de ressentir ses émotions une fois le problème résolut. Grâce à cet exercice, on peut avoir une idée des situations concrètes que l’on pourra vivre et les effets que ce nouvel état aura sur nous. En effet, une fois que l’on identifie ces points précis, on peut ensuite reproduire l’attitude (physique et mentale) que l’on a pu identifier lorsque l’on s’est projeter. Par exemple, si l’on veut faire renaître son couple on peut s’imaginer en grande complicité avec son conjoint, entrain d’inviter des amis à dîner, de réaménager sa chambre à coucher… et d’un coup, on ressent de la douceur, du désir… la machine est lancée.
L’écueil à éviter : on essai plus ou moins qu’on veut (changer de travail) mais on ne sait pas comment atteindre ce but du coup, on rumine dans son coin et on tourne autour du projet sans jamais avancer car on ne sait pas où commencer.
Ne pas baisser les bras après un échec
Ne jamais perdre de vue l’endroit où l’on veut aller et fixer ce but. Il ne faut surtout pas se focaliser sur l’échec mais au contraire le vivre comme un apprentissage de plus qui nous mènera vers la réussite du projet. Comme sur la route, lorsque l’on veut dépasser un camion et que l’on a trop fixé dessus, on finit par dévier vers lui. Il faut donc toujours regarder loin devant pour bien éviter le camion. Il est de même pour l’échec : il ne faut pas le fixer. Il faut regarder l’objectif final pour pouvoir le dépasser.
L’écueil à éviter : on veut réaliser quelque chose mais un obstacle est mis en travers de notre route. On a raté un examen, échoué à un entretien d’embauche , on se dit que ce métier n’était finalement pas fait pour nous, qu’il vaut mieux passer à autre chose…
Imiter quelqu’un qui a réussi
Au lieu de se croire moins chanceux ou moins capable, mieux vaut essayer d’analyser le comportement de cette personne et comprendre ce qui fait qu’elle a du succès. L’idée n’est pas de s’approprier le projet d’un autre mais sa manière de réussir. Il faut donc la méthode et la faire évoluer. Par exemple, lire des biographies de personnes célèbres que l’on admire peut-être un bon début.
L’écueil à éviter : il est facile de se dire que la personne qui réussit a eu de la chance, ou est plus intelligente, plus douée…
Dépasser ses freins psychologiques
Très rapidement des obstacles parasitent le rêve. Ce sont des freins psychologiques issus de l’éducation ,de la société, des proches… et qui font douter de la faisabilité du projet. ? croyances limitantes sont le fruit d’un conditionnement dont il faut prendre conscience. Il faut les remplacer par des croyances positives. Par exemple, si on pense que l’on n’arrive pas à gérer ses émotions, il faut se souvenir de toutes les occasions où l’on est arrivé à les gérer, et se dire que l’on est une personne qui sait se montrer empathique? conseille Aurelie pennel, co-auteur de ?j’arrête de renoncer à mes rêves?, consultante, conférencière et formatrice. Ce changement de point de vue participera à renforcer sa confiance en soi. De la même manière, on ne cherche pas des excuses extérieurs à pour justifier sa procrastination .
Delphine Liginbuhl ,sa co-auteur, ingénieur de l’école centrale paris désormais coach en psychologie positive, se souvient ainsi de deux clientes qui hésitaient à se lancer : l’une car son mari ne la soutenait pas, l’autre parce qu’au contraire il avait de grands espoirs et qu’elle redoutait de le décevoir en échouant. On cherche donc en soi les raisons d’accomplir son rêve et d’agir pour ne pas subir sa vie. On se projette dans le moment où on aura atteint ce rêve. On imagine comment on le vie quel est son quotidien, ce qu’on mis en oeuvre pour y arriver… Ça permet de gonfler sa confiance en soi et d’oser se lancer.
Préparer son projet
Il n’existe pas de moment idéal pour passer à l’action. A l’attendre, on finit d’ailleurs par ne ne jamais se lancer. Cependant, on prépare tout de même son projet, on se renseigne pour mettre toutes les chances de son côté. ?Le bon moment pour se lancer, c’est quand on a très envie et qu’on va tenir sur la durée. Quel que soit son rêve, il y a tout de même une réflexion matérielle à avoir. Il faut se renseigner sur les dates d’inscription à la fac faire une étude de marché, anticiper comment on va faire financièrement…?souligne Johanne Rozenblum. On attend donc d’avoir des envies en gardant les pieds sur terre pour bien se préparer.
Être bien entouré(e)
Si la décision de réaliser son rêve est personnelle elle suppose quand même d’en parler à son entourage. Surtout si l’on est parent ? s’engager pour cinq ans d’étude par exemple, demande du soutien et de la compréhension de la part des proches. On ne sera plus la même personne. On vient bousculer toutes sa vie, celle de son conjoint et de ses enfants parce qu’on imagine être un mieux?, confie Johanne Rozenblum. On s’entour également d’amis qui adhérent au projet. On se renseigne auprès de personnes qui ont tenté l’aventure avant nous, ? il y a très peu de projets que l’on peut réellement mener seul(e) mais il faut s’entourer des bonnes personnes, celles qui seront là pour aider ,moralement, challenger nos idées, avoir un regard critique constructif?, ajoute Delphine Liginbuhl.
Y aller étape par étape
Quand on a un objectif, un rêve ambitieux, mieux vaut le découper en petites étapes. Cela permet de se fixer des buts intermédiaires, de faire des paliers pour faciliter cette ascension. C’est la stratégie des petits pas. ? Avancer à petits pas, c’est se donner une dynamique de réussite plus probable car la montagne à gravir peut paraître vertigineux?, se souvient Johanna Rozenblum. Cela signifie aussi que l’on n’est pas obligé de tout changer dans sa vie du jour au lendemain. On peut y aller progressivement pour assurer ses arrières, prendre le temps s’organiser de tester son idée, de mieux se connaître… ?Je ne m’épanouissait pas totalement quand j’étais ingénieur, j’ai choisi de reprendre des études et de passer ma licence de psychologie. Mais ma reconversion s’est faite en douceur.
J’ai d’abord été coach en interne dans l’entreprise où je travaillait, avant de me lancer à mon compte. Ça s’est fait de manière très douce et sûre. On n’est pas forcé(e) de tout envoyer valser ! Il faut se dire que le bonheur est dans le chemin, pas simplement dans l’arrivée, même si cela prend plusieurs années ? assure Delphine Liginbuhl.
Se féliciter de ses réussites
On s’attarde plus souvent sur ses échecs que ses succès. Pourtant reconnaître ses petites réussites permet d’avancer vers son rêve. ? nous sommes éduqué(es) dans une société où l’on prône la modestie. Le risque, c’est de ne même plus voir nos succès de les taire. Demandons-nous quelle est la dernière chose que nous avons faites et qui nous a fait plaisir. Il faut prendre le temps de la savourer avant de foncer vers un nouvel objectif?, suggère Delphine Liginbuhl. ? les succès récents sont des petits pas qui nous mettent dans la bonne direction. Ils contribuent à un cercle vertueux et renforce l’estime de soi, ajoute pour sa part Aurelie pennel.
Tirer des leçons de ses échecs
Les difficultés rencontrées sur la route ne doivent pas faire perdre des yeux ton rêve. ? même si l’échec est mal perçu dans notre société, il ne faut pas en avoir peur sinon on agit pas. A chaque fois qu’on échoue, on se rapproche un peu plus du but ! ?encourage le coach en psychologie positive. On se rappelle des échecs passés et on garde en tête qu’on en a déjà surmontés. Paul- Émille Victor disait :
La chose qu’on est pas sûre de ne pas réussir, c’est celle qu’on ne tente pas.
?S’épanouire en réalisant un rêve, c’est bénéfique?conclu Johanna Rozenblum. Ainsi, oser aller à la rencontre de ses rêves permet de vivre sa vie en se sentant porté(e), sans cultiver de regrets.
Réaliser ses rêves c’est aussi savoir Lâcher-prise
En savoir plus sur JeunInfo.J.I.
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