Réseaux sociaux : comment reconnaître les déviances ?
les réseaux sociaux sont plus populaires que jamais. Sur les quelques 3,43 milliards d ‘ utilisateurs internet dans le monde, 2,28 milliards de personnes ( donc environ presque un tiers de la population mondiale ) visite régulièrement les réseaux sociaux. (Tendance à la hausse ). Plateforme qui enregistre plus de clics mensuels , Facebook est en tête du peloton et célèbre avec une double victoire parmi les utilisateurs d ‘ appareils mobiles avec la filiale Watsapp. Les réseaux sociaux ,belle invention du xxe siècle qui a permis tant de choses ! Des nouvelles rencontres virtuelles en passant par la possibilité d ‘ entretenir le contact visuel même à des kilomètres à la discussion instantanée jusqu’à l ’ expansion de la liberté d ‘ expression dans ses plus haut retranchements, bref le progrès me direz- vous.
Je suis totalement d’accord pour dire que grâce à eux pour faire des très jolies rencontres , garder les contacts et organiser divers événements ( genre nos soirées merci Facebook ). Afficher mes photos fièrement tel un photographe pro (merci Instagram ). Mais aussi taper des coups de gueule et raconter ma vie en ayant l ’ impression d ‘ être écouté ( merci Twitter ). Tester tous les filtres du monde et regarder les stories des autres tranquillement assis sur mon canapé (merci Snapchat ). Aussi aussi formidable qu ‘ ils soient les réseaux sociaux n ‘ en est pas moins dangereux pour nous même pour notre état d ‘ esprit.
ANALYSE : de plus en plus de chercheurs alertent sur les effets inquiétants des réseaux sociaux. La consommation de contenus quand elle est passive peut avoir un impact négatif sur le bien-être
LES RISQUES LIÉS AUX RÉSEAUX SOCIAUX
DÉVIANCE
Est une notion de sociologie désignant des comportements non, conformes aux normes. Inutile de renier la réalité : les réseaux sociaux ont maintes fois été à l ’ origine d ‘ actes macabres : les suicides, les disparitions, les harcèlements, et les diffamations y ont parfois gagné le terrain et les conséquences sont lugubres. Prenons le cas de Facebook. Un compte peut faire l ’ objet d ‘ un partage et une grande partie de l ’ intimité de son propriétaire est exposée et parfois utiliser pour lui causer du tort. Des autres comptes sont aussi souvent des « FAKE » l ’ usurpation d ‘ identité ainsi que les manœuvres frauduleuses se produisent aussi de l ’ autre côté de l ’ écran . Les manipulations et les escroqueries ont aussi su trouver leur place. Les ventes en ligne et les échanges de groupe favorisent fortement ces pratiques et font plusieurs victimes. Certains utilisateurs profitent de ces activités et y tirent profit .
Les réseaux sociaux sont devenus à la une. Beaucoup s’y mettent parce qu’un de leur proche y est. La méfiance ou la critique envers cette nouvelle technologie est endormie par la mode et l ’ engouement des adolescents . ils sont plus nombreux et les plus actifs sur ces sites. C’est pour cette raison qu’ils sont les premières victimes de harcèlement moral, d ‘ injures, ou de photos obscène. Les faits divers à l ’ utilisation de ces sites sont multiplier, plus grave encore, les adolescentes partagent leur vie privée sans se rendre compte que leur intimité est exposée publiquement. Les dangers des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter guettent les adolescents car ils sont les premiers à avoir adopté ces réseaux sociaux. La moitié d ‘ entre eux se connectent tous les jours ou presque et les cas de dérapage sont nombreux. Sur les réseaux sociaux les messages peuvent se propager de manière virale plusieurs l ’ ont appris à leurs dépenses.
L ’ ADDICTION AUX RÉSEAUX SOCIAUX NOUVEAU FLÉAU DE SANTÉ PUBLIQUE
Être accro aux réseaux sociaux, c’est tout à fait possible, les dangers de cette addition sont même devenus un véritable fléau, surtout chez les adolescents. Scroller à longueur de journée ses comptes Facebook ou Twitter peut devenir une véritable addiction c’est même un véritable fléau de notre époque, les personnes les plus touchées par ce phénomène sont bien évidemment les adolescents qui sont les personnes les plus vénérables.
DU SIMPLE PARTAGE À L ’ ADDICTION
Facebook est le réseau social par excellence, si bien qu ‘ aujourd’hui c’est vraiment compliqué de ne pas avoir un compte Facebook si on veut continuer à avoir une vie sociale… Enfin oui et non ! Car Facebook s ‘ il permet de chatter, de poker, de partager, de lier, etc. Bref autant de choses qui font qu’on en devienne vite accro, et qui sont pourtant inutiles ou possibles. En effet, la première chose que beaucoup de gens font dès le réveil, c’est de se connecter à Facebook . Et certains en viennent même à dégainer leur smartphone à tout bout de champ : le matin, le midi, le soir, et même la nuit parfois. En fait sans même s ‘ en rendrecompte, ils deviennent accro !
Passer tout son temps sur les réseaux sociaux de partager peut vite devenir une véritable drogue au point qu ‘ on ne peut plus se passer de smartphone et on devient presque tellement accro aux réseaux sociaux qu ‘ on en vienne à oublier sa propre vie sociale : au restaurant on passe plus de temps à retoucher sa photo Instagram qu ‘ à réellement déguster le plat qu ‘ on a devant soi, on passe plus de temps à liker les photos de ses amis Facebook que de passer réellement du temps avec eux. Etc. Bref on n’a plus vraiment de vie sociale à force de passer du temps sur les réseaux sociaux .
RÉSEAUX SOCIAUX ET DÉRIVES : L ’ IMPORTANT D ‘ ÉDUQUER LES ENFANTS ET LES ADOLESCENTS AU NUMÉRIQUE
Depuis une dizaine d’années, les réseaux sociaux se sont ancrés dans notre quotidien. Et cette règle se vérifie aussi chez les adolescentes, et parfois même les plus jeunes enfants qui utilisent abondamment Facebook, Snapchat, Instagram, ou encore Twitter, pour communiquer entre « amis » mais ils ne comprennent pas toujours les rouages, qui se cachent derrière ces mastodontes du Web ni les risques qui peuvent en découler.En effet, l ’ impact peut être tel que leur quotidien peut véritablement basculer : cyber harcèlement, usurpation d ‘ identité, ou encore cyber flashing sont malheureusement devenus aujourd’hui monnaie courante. L ’ adolescent souvent livré à lui même, sur les réseaux sociaux ne réalise pas pas l ’ impact du numérique. En effet le jeune utilisateur est dans un environnement Internet (son domicile, seul dans les transports. Etc ).
Se sent en confiance et c’est justement ce supposé, confiance qui entraîne ce phénomèned ‘extrémité qu’on pourrait qualifier d ‘ intimité exposée. Car lorsqu’il utilise les réseaux sociaux l ’ adolescence ouvre une fenêtre sur le monde externe. Résultats : l ‘adolescent se comporte souvent comme il le ferait au sein du foyer ou de son cercle amical proche, tout en s ‘ exposant aux regards des internautes La » retenue » traditionnelle mentalité liée au fait d ‘ être en public. L ’ éducation au numériqueconsiste donc tout d ‘ abord à faire comprendre que les réseaux sociaux, et plus largement internet , sont une « place publique » sur la quelle les règles de bien séance s ‘ applique toujours.
CONCLUSION
Aussi formidable qu ‘ ils soient, les réseaux sociaux n ‘ en sont pas moins dangereux pour nous même, pour notre état d ‘ esprit. Ne laissez pas ces petits vicieux vous volez votre confiance en vous et surtout pas l ’ instant présent. Vivez à fond, profitez ,forgez vos propres style , votre propre personnalité et fichez vous du regard que les gens peuvent vous porter derrière écran à travers leur pseudo .
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