Comment vaincre la névrose ?
Vaincre la névrose : obsessions, phobies, angoisses ou encore crises de nerfs… Aussi irrationnels qu’irrépressibles, les troubles névrotiques n’impliquent pas de rupture avec la réalité à l’inverse de la psychose. Qu’est-ce qu’une névrose ? Quels sont les différents types de névroses ? Comment en venir à bout ? On fait le point. Les personnes atteintes de la névrose ont souvent mauvaise réputation. Nerveuses, tendues, lunatiques, elles ont beaucoup de mal à gérer leur stress et leurs émotions et peuvent souffrir d’anxiété et de dépression . Si vous souffrez de névrose, affrontez vos pensées négatives et informez-vous davantage sur la maladie. Acceptez vos sentiments et exprimez-les de manière saine. Face au stress, il est impératif que vous appreniez à vous maitriser efficacement.
Définition : qu’est-ce qu’une névrose ? quelle différence avec une psychose ?
La névrose désigne un ou plusieurs symptômes d’origine psychologique perçus comme contraignants et irrationnels par le sujet qui en souffre. Le patient présente des manifestations psychologiques et physiques irrépressibles (angoisses, phobies, obsessions, compulsions, crises émotionnelles, douleurs somatiques…) dont il reconnaît le caractère pathologique. La conscience des symptômes et l’autocritique différencient la névrose de la psychose, laquelle est marquée par une perte de contact avec la réalité. Selon le psychologue Samuel Mergui, « Contrairement aux idées reçues, la névrose n’est pas une maladie mais une organisation psychique particulière qui se distingue de la psychose, de l’état limite et de la perversion. La spécificité de cet état psychique est d’avoir un surmoi ( c’est-à-dire un état de conscience) qui prend beaucoup de place et qui donne lieu à de nombreux sentiments de remise en question et de culpabilité. La névrose se traduit par une angoisse et d’autres émotions désagréables ».
La névrose est un terme ancien emprunté à la psychanalyse et aujourd’hui considéré comme obsolète par la psychiatrie : la névrose ne figure pas dans la classification du DSM V (Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux) de l’AAP (Association Américaine de Psychiatrie) qui est l’ouvrage de référence en psychiatrie.
Origine du terme
Névrose vient du grec neurosis : neuron signifiant « nerf » et ôsis signifiant « maladies non-inflammatoires ». La première description est donnée au XVIIIe siècle par le médecin et chimiste britannique William Cullen (dans son ouvrage Neurosis or nervous deseases). Elle met en exergue l’origine exclusivement psychique de la névrose définie comme étant « toutes affections contre nature du sentiment ou du mouvement (…) qui ne dépendent pas d’une affection topique des organes mais d’une affection plus générale du système nerveux ». Pendant longtemps la névrose désigne toutes les maladies psychiatriques sans origine fonctionnelle. Il faudra attendre les travaux du psychiatre Sigmund Freud pour que la névrose désigne une structure psychique reposant sur des mécanismes de défense qui la distinguent d’autres formes d’organisation telles que la psychose et la perversion . Jean Bergeret rejoint plus tard cette conception à ceci près qu’il incorpore dans une structure qu’il qualifie d’instable, les états limites.
Qu’est-ce que la névrose en psychanalyse ?
La névrose, une structure psychique.
Sigmund Freud est l’un des premiers à décrire la structure de l’appareil psychique : il distingue la névrose, la psychose et la perversion. Selon Freud, « si nous jetons un cristal par terre, il se brise, mais pas n’importe comment, il se casse suivant ses directions de clivage en des morceaux dont la délimitation, bien qu’invisible, était cependant déterminée à l’avance par la structure du cristal » . Cette métaphore du cristal nous aide à comprendre que l’individu naît avec une structure prédéfinie et que si ce dernier vit des évènements traumatisants (représentés par le cristal qui tombe et se brise), il peut développer les symptômes propres à sa structure : c’est la décompensation psychique. En cas de névrose, le sujet vit un échec du refoulement des évènements traumatiques qui font leur réapparition sous la forme de symptômes : phobies, obsessions…
D’après Samuel Mergui, psychologue clinicien : « En fonction de la structure du patient, la décompensation psychique peut occasionner des symptômes différents. La structure névrotique donne lieu à des manifestations qui ne compromettent pas le contact avec la réalité. Toutefois, cela ne signifie pas que l’individu névrosé est moins affecté qu’une personne psychotique (ou d’une autre structure), dans la mesure où l’impact sur la vie du patient est davantage lié au degré de sévérité du symptôme qu’au type de symptôme en lui-même. Par exemple, il n’est pas rare qu’une phobie d’impulsion soit plus pénible à vivre qu’un délire mégalomane. »
La névrose, un échec du refoulement.
La névrose est un conflit psychique dont l’origine remonte à l’enfance. Ce conflit est source de compromis incessants entre désir et défense. D’un côté, le ça représente l’émotion pulsionnelle, de l’autre côté, le moiest dirigé par le surmoi (l’état de conscience du sujet) et le monde extérieur. Le moi refoule le ça. Mais le ça réapparaît avec un déguisement : le symptôme. « Nous parlons de déplacement qui est l’un des mécanismes de la névrose (parmi beaucoup d’autres) », selon le thérapeute Samuel Mergui. La névrose s’explique donc par un échec du refoulement des émotions pulsionnelles.
Les différentes formes de névroses
La névrose actuelle est distinguée par Sigmund Freud des névroses de transfert par le fait que son origine n’est pas à chercher dans un conflit infantile mais dans le présent. Le symptôme résulte de l’absence et ou de l’inadéquation de la satisfaction sexuelle (abstinence, coït interrompu…) ;
- Les névroses de transfert : selon Freud, les mécanismes de formation des symptômes névrotiques correspondent à des déplacements de l’affect d’une représentation refoulée sur une représentation substitutive. Il existe trois névroses de transfert définies par leurs manifestations :
- La névrose phobique qui se manifeste par une crainte incontrôlable et injustifiée d’un élément particulier (par exemple : l’arachnophobie, la claustrophobie…) ;
- La névrose hystérique caractérisée par la conversion des angoisses et du mal-être psychique par des symptômes physiques (crises de nerfs, douleurs somatiques, tétanie, spasmophilie, malaises…) ;
- La névrose obsessionnelle désormais appelée trouble obsessionnel compulsif (TOC) qui se traduit par des craintes obsédantes menant le sujet à réaliser des rituels (ou compulsions) afin d’apaiser ces dernières (par exemple : les tocs de lavage par crainte de la saleté) ;
D’autres névroses ont été décrites par de nombreux psychiatres et psychanalystes au fil des siècles : la névrose traumatique, la névrose d’angoisse, la névrose d’échec, la névrose d’abandon, la névrose familiale…
Cause(s) : comment expliquer ces troubles ?
L’origine des troubles névrotiques est multifactorielle. Ces derniers résultent le plus souvent d’une accumulation de facteurs sociaux, environnementaux mais aussi biologiques et génétiques. Les théories de Sigmund Freud sont encore aujourd’hui une source d’explication pour les adeptes de la psychanalyse.
Des facteurs sociaux et environnementaux
Les troubles psychiatriques, dont les névroses, parlent de notre passé : environnement social et familial, éducation, évènements stressants ou traumatisants… La névrose traumatique en est l’illustration : le trouble dustress post-traumatique (TSPT) se développe après un événement extrêmement traumatisant et se manifeste par sa reviviscence régulière, accompagnée de manifestations physiques liées à l’émotion extrême ressentie. Il altère de façon significative la vie personnelle, sociale et/ou professionnelle . La névrose familiale en est aussi un exemple. Ce terme est employé pour désigner le fait que, dans une famille donnée, les névroses individuelles se complètent, se conditionnent réciproquement, et pour mettre en évidence l’influence pathogène que peut exercer sur les enfants la structure familiale, principalement celle du couple parental.
Des causes biologiques et génétiques
Comment vaincre la névrose : la survenue des névroses s’expliquerait par des facteurs biologiques et génétiques. Intéressons-nous par exemple à la névrose obsessionnelle : selon l’Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM), il existe un risque augmenté de développer un trouble obsessionnel compulsif pour les apparentés au 1er degré d’un patient . L’hypothèse d’un mécanisme d’auto-immunité dans certaines formes précoces de la maladie (réaction inflammatoire dirigée contre le cerveau) a aussi été avancée mais n’a à ce jour pas été prouvée .En outre, une équipe de chercheurs de l’ICM a montré que l’activité neuronale de certaines zones du cerveau (telles que la région orbito-frontale ou les ganglions de la base) était fortement augmentée chez les patients atteints de TOC. Une des hypothèses pour expliquer cette hyperactivation cérébrale est basée sur une perturbation des niveaux de neuromédiateurs comme la sérotonine, la dopamine en encore la vasopressine .
L’explication psychanalytique
Selon les théories de Freud :
- La névrose obsessionnelle résulterait d’un conflit inconscient entre les pulsions érotiques et les tendances destructrices, avec prédominance de ces dernières. Le refoulement de la destructivité est mis en échec. Ce mécanisme anxiogène se traduit par des conduites obsessionnelles autour de l’intégrité de l’objet qui pourrait avoir été détruit. Cette névrose repose sur un surinvestissement de la pensée qui devient toute puissante.
- La névrose hystérique est théorisée par Freud au travers du cas de Dora, une patiente dont les symptômes s’expliqueraient par un conflit œdipien (Dora était amoureuse de son père, selon Freud) vainement refoulé par cette jeune femme. Ce dernier resurgirait sous la forme de symptômes physiques par des mécanismes de conversion des problématiques psychiques vers le corps. En réalité, la névrose hystérique de même que « toutes les névroses, reposent sur une angoisse de castration pour une faute, en l’occurrence ici le fait d’aimer son parent », selon le psychologue Samuel Mergui.
- La névrose phobique est le résultat d’un déplacement et de la réunion des affects dans un objet redouté par le patient. Ainsi les émotions négatives ne réapparaissent qu’en présence de l’objet phobique.
Traitements
- Les médicaments comme les benzodiazépines en administration ponctuelle ou de courte durée pour calmer les états d’angoisse notamment en cas d’attaque de panique. Mais aussi les antidépresseurs sérotoninergiques sur une durée plus longue pour les patients souffrant notamment de TOC.
- La psychothérapie qui se décline soit en thérapies comportementales et cognitives (TCC) ou en thérapie d’inspiration psychanalytique permettent de trouver l’origine du trouble et d’apprendre à faire face en cas de récidives.
Identifiez vos émotions
Peut-être que vous aimiez être perçu comme une personne « ?aimable? » ou « ?qui ne se fâche jamais? ». Il est également possible que vous vous comportiez de façon névrotique lorsque vous éprouvez un sentiment qui ne cadre pas tout à fait avec ce que vous pensez de vous-même, bloquez-le donc ou évitez-le d’une manière ou d’une autre. Si vous voulez surmonter votre névrose, il est important que vous sachiez reconnaitre et ressentir vos émotions . Par exemple, si vous vous sentez triste, admettez l’être. Observez ce que cette tristesse provoque en vous et la façon dont elle affecte vos pensées et vos comportements. Comment vaincre la névrose : prenez conscience de vos sentiments et faites attention au moindre facteur qui pourrait vous rendre plus anxieux, dépressif ou augmenter votre stress.
Libérez vos sentiments
Exprimez vos émotions chaque fois que vous les ressentez. Certaines personnes trouvent utile de parler de ce qu’elles ressentent. D’autres préfèrent écrire, écouter ou jouer de la musique, danser ou faire du vélo. Faites de la méditation ou du yoga pour mieux gérer vos émotions et les exprimer plus sainement. Comment vaincre la névrose : le plus important est d’exprimer vos sentiments, pas de les enfouir, les émotions refoulées peuvent nuire à vos relations et vous faire souffrir . Si vous jugez utile de parler de vos sentiments, confiez-vous alors à un ami de confiance ou consultez un psychologue.
Affrontez vos pensées négatives
Comment surmonter la névrose : si vous avez tendance à penser à des évènements, situations ou éléments négatifs, changez votre façon de vous parler. La manière dont vous vous parlez peut influencer la façon dont vous voyez le monde et le hic est que, très souvent, on a l’impression que ce que l’on se raconte à soi-même est vrai. Si vous remarquez que vous avez des pensées négatives, posez-vous certaines questions .
- Suis-je en train de porter des jugements négatifs ?
- Ces pensées sont-elles vraies ?
- Peut-on examiner cette situation sous un autre angle ?
- Que penserait une personne positive de cette situation ?
- Que pourrait-il arriver de mieux ?
Identifiez vos craintes
Par votre comportement, vos émotions, vos relations, vos croyances et votre manière de vous défendre, le névrosisme peut se manifester. Il peut se manifester comme un sentiment refoulé (comme le fait d’étouffer ses sentiments ou d’éviter certaines choses). Parfois, s’exprimer exagérément (comme le fait de s’énerver ou de réagir de façon excessive) peut en être une manifestation. Il est possible que vous réagissiez de façon névrotique lorsque vous vous sentez menacé ou manquez d’assurance. Comment vaincre la névrose : faites attention aux moments où ces sentiments vous envahissent et à la façon dont vous y répondez . Par exemple, si vous avez un rendez-vous avec une personne et que cette dernière est en retard, cela peut vous amener à vous emporter. Vous pourriez ensuite commencer à l’appeler sans cesse ou à vous imaginer qu’elle vous a fait faux bond.
Demandez que l’on vous fasse des observations
Il est possible que vous ne sachiez pas ce qui fait de vous un névrosé, mais cela n’est pas nécessairement le cas de votre entourage. Soyez curieux, renseignez-vous sur votre comportement auprès de votre partenaire, de votre frère, de votre sœur et de vos amis(es) proches. Ils pourraient vous permettre de savoir certaines choses que vous ignoriez totalement. Cependant, sachez qu’il est bien possible que ce qu’ils vous disent ne vous plaise pas . Dites : « ?J’essaie de m’améliorer depuis un moment et j’aimerais savoir ce que vous pensez de la manière dont je réagis quand je fais ma crise de névrose. Que remarquez-vous ?? »
Restez pragmatique face aux problèmes
Au lieu de vous complaire dans la tristesse, la peur, l’anxiété ou l’inconfort, prenez les devants et résolvez vos problèmes. Comment vaincre la névrose: commencez par accepter vos sentiments, avant de commencer à réfléchir à une solution. Par exemple, si vous avez plusieurs choses à faire, il est possible que vous veuilliez procrastiner ou ayez tendance à vous focaliser beaucoup plus sur votre anxiété. Au lieu de cela, faites une liste des tâches que vous avez à faire et rayez-en quelques-unes chaque jour afin de ne pas vous sentir submerger . Il est tout à fait normal de vous sentir dépassé, anxieux, stressé ou déprimé. Ne vous attardez tout simplement pas sur ces sentiments. Trouvez des moyens d’affronter vos craintes et de réduire votre vulnérabilité aux évènements. Si éventuellement, vous avez des tâches à faire que vous remettez chaque fois à plus tard, fixez-vous un délai pour les accomplir.
Par exemple, si vous reportez le paiement de vos factures parce que vous angoissez à cause de la somme à payer, consacrez une journée par mois au paiement de vos factures et finissez-en pour de bon.
Trouvez de bonnes alternatives
Comment vaincre la névrose : si vous avez l’habitude de vous attendre toujours au pire ou d’anticiper les problèmes dans plusieurs situations différentes, vous devez commencer par trouver des solutions alternatives pour anticiper les bonnes choses. Il en est de même pour les souvenirs : si en pensant à votre passé vous ne choisissez que vos pires moments, commencez dès maintenant à penser aux meilleurs . Si vous stressez parce que vous avez un test à passer, dites-vous que cela finira bientôt et que vous ne stresserez plus. Si vous pensez à un évènement négatif, essayez plutôt de voir le côté positif de la situation. Par exemple, si vous avez manqué votre correspondance à cause du retard de votre avion, le bon côté des choses est que vous pouvez prendre un autre vol gratuitement.
Soyez tolérant dans vos relations
Le névrosisme peut profondément nuire à vos relations. Par exemple, si vous êtes intransigeant à l’égard de votre partenaire ou des membres de votre famille, ces derniers pourraient penser qu’ils ne pourront jamais combler vos attentes ou qu’ils doivent gagner votre affection. Si vous avez du mal à vous entendre avec les autres, faites preuve de tolérance. Ne soyez pas trop stricte avec les gens. Si une personne vous déçoit, ne lui en voulez pas éternellement. Sachez tout simplement que tout le monde fait des erreurs et soyez indulgent . Ne permettez pas que de petites choses nuisent à vos relations familiales. Si vous voulez que certaines choses comme les travaux ménagers se fassent d’une manière bien précise, dites-le clairement.
Faites ce qui vous plait
Trouvez du temps pour pratiquer certaines activités amusantes et stimulantes. Ces dernières doivent être agréables, divertissantes, ni stressantes, ni chronophages. Buvez une tasse de thé chaque matin ou avant de vous coucher, mettez à jour votre journal intime, jouez avec un animal de compagnie, prenez un bain, faites un peu de menuiserie ou de la randonnée pédestre . Comment vaincre la névrose : même si vous ne pouvez pas vous amuser tous les jours, essayez quand même de faire quelque chose d’amusant et de relaxant, 2 à 3 fois par semaine. En faisant de l’exercice, vous secrèterez de l’endorphine et d’autres hormones bienfaisantes qui stimuleront votre humeur. Faire régulièrement de l’exercice principalement lorsque l’on est enclin aux comportements névrotiques peut vous aider à faire face efficacement à l’anxiété et à la dépression.
Soyez reconnaissant
Comment vaincre la névrose : être reconnaissant peut vous rendre plus heureux et vous aider à réduire votre stress et votre anxiété. De plus, cela est assez facile à faire : il vous suffit d’exprimer votre gratitude chaque jour ou tenir un journal de gratitude. À votre réveil le matin, pensez à trois choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant avant de quitter votre lit et faites de même avant de vous coucher le soir . Prenez l’habitude de rendre grâce chaque jour. Par exemple, prenez un bracelet et pensez aux différentes choses dont vous êtes reconnaissant chaque fois que vous le regardez.
Utilisez des stratégies d’adaptation
Comment vaincre la névrose : trouvez des moyens sains d’évacuer le stress, comme la relaxation. Entrainez-vous chaque jour. Trouvez quelque chose à faire pendant 30 minutes au moins chaque jour pour réduire au maximum votre stress. Trouvez un ensemble de choses que vous pouvez faire pour vous soulager lorsque vous êtes stressé. Vous pouvez : tenir un journal, écouter de la musique, dessiner, colorier ou vous promener . Faites du yoga quotidiennement, du qi gong, du taïchi ou de la méditation.
Consultez un thérapeute
Comment vaincre la névrose : il pourra vous venir en aide si vous éprouvez des difficultés à surmonter seul vos problèmes de névrose. Vous pouvez débuter une thérapie cognitivocorportementale (TCC). Cela vous aidera à affronter vos pensées négatives et à les remplacer par des pensées plus positives. Mieux, le thérapeute pourra vous aider à développer des stratégies d’adaptation qui vous permettront de faire face efficacement à votre stress et d’être plus gai et joyeux . La TCC vous permettra de savoir l’influence que vos pensées, sentiments et comportements exercent les uns sur les autres et l’incidence que les changements que vous apportez auront sur ces trois éléments.
En savoir plus sur JeunInfo.J.I.
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